Lu pour préparer le nouveau programme imposé en poésie aux élèves de Première. Quelle platitude, quelle pauvreté de langue, que de poncifs! Termes qui s'enchaînent sans logique, groupes nominaux jetés à la suite pour imiter la rupture poétique …. N'est pas
Baudelaire qui veut ou même
Prévert! …. Ce recueil est la honte de la poésie ! Faut il ne rien connaître à l'art poétique pour être sensible à tant de poncifs éculés sur les forêts et les fougères et autre mousse des bois……
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