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Critique de merovech
Quatrième tome.
Je suis un grand fan du scénariste et l'univers créé dans cette série est vraiment intéressant.
Mais si autant j'étais subjugué par les deux premiers tomes, je reste sur ma faim pour les deux suivants. J'essaye de mettre de côté l'aspect nouveauté pour me concentrer sur des points objectifs.
La grande qualité de Xavier Dorison est (ou était) l'équilibre et éviter les facilités. Mais là, je suis circonspect.
Le personnage le plus intéressant est évidemment l'ogre. Mais l'équilibre fragile du premier tome a fini par voler en éclat pour basculer dans le côté obscur. Une bonne BD manichéenne avec tous les critères qui vont avec. J'exagère un peu évidemment parce que ma déception est à la hauteur de mon estime pour le scénariste.
Le personnage de Jonas Crow est étonnamment absent de cet album, fade… En fait tous les personnages deviennent complètement caricaturaux. Les méchants sont punis et les gentils se font un bisou. Yes ! Je passerai sur la fin, en queue de poisson, qui frise les clichés les plus élémentaires.
Finalement, je me retrouve devant une BD presque banale, facile. Un bon moment de détente mais loin du meilleur de ces deux auteurs. Je pense que Xavier Dorison était trop occupé et qu'il a refilé le boulot à un pote qui passait par là.
Je suis un grand fan du scénariste et l'univers créé dans cette série est vraiment intéressant.
Mais si autant j'étais subjugué par les deux premiers tomes, je reste sur ma faim pour les deux suivants. J'essaye de mettre de côté l'aspect nouveauté pour me concentrer sur des points objectifs.
La grande qualité de Xavier Dorison est (ou était) l'équilibre et éviter les facilités. Mais là, je suis circonspect.
Le personnage le plus intéressant est évidemment l'ogre. Mais l'équilibre fragile du premier tome a fini par voler en éclat pour basculer dans le côté obscur. Une bonne BD manichéenne avec tous les critères qui vont avec. J'exagère un peu évidemment parce que ma déception est à la hauteur de mon estime pour le scénariste.
Le personnage de Jonas Crow est étonnamment absent de cet album, fade… En fait tous les personnages deviennent complètement caricaturaux. Les méchants sont punis et les gentils se font un bisou. Yes ! Je passerai sur la fin, en queue de poisson, qui frise les clichés les plus élémentaires.
Finalement, je me retrouve devant une BD presque banale, facile. Un bon moment de détente mais loin du meilleur de ces deux auteurs. Je pense que Xavier Dorison était trop occupé et qu'il a refilé le boulot à un pote qui passait par là.
