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Critique de ConfidencesLitteraires


Je n'ai pas réussi à terminer ce grand classique russe - il me reste une petite centaine de pages sur 700 - et c'est principalement ma faute : je ne l'ai clairement pas lu au moment le plus propice !

Le héros est un étudiant fauché, Raskolnikov. Après une conversation entendue par hasard, lui vient l'idée - absurde ou lumineuse - de tuer une usurière, en partant du principe que beaucoup de bien découlerait de ce meurtre et du bon usage fait de la fortune volée au passage. Notre héros étudie son projet et se pense plus intelligent que le criminel moyen pour ne pas se faire prendre.
Mais tout ne se passe pas comme prévu : l'angoisse de se faire identifier et un possible sentiment de culpabilité lui font perdre la tête...

Même s'il ne se passait pas grand-chose, j'ai été pendant un temps captivée par les états d'âme de Rodia. Ses réactions imprévues et son arrogance n'ont cessé de m'étonner !
Pourtant, je me suis lassée vers la moitié du roman. Ce livre est composé de longues introspections et de discussions philosophiques et psychologiques. Au début, cela ne m'a pas dérangée, je restais curieuse des prochaines actions : que va-faire Raskolnikov, que va devenir Sonia, ainsi que Dounia ?
Mais lors de la dernière semaine de ma lecture, j'ai peu à peu réalisé que j'avais perdu cette curiosité et que je lisais principalement pour « avancer et le terminer ». Comme ce n'est pas ma vision de la lecture, qui doit rester un PLAISIR, j'ai préféré arrêter là et me tourner vers une lecture plus fraîche et dynamique…

Je relirai sans doute Crime & Châtiment dans plusieurs années, à un meilleur moment. C'est un roman très intéressant au niveau psychologique et les personnages sont particulièrement travaillés, ce n'est pas une perte de temps que d'essayer de s'y plonger – avec une meilleure traduction !
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