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Critique de VirginieDoucet


Je dois avouer que le nom de l'auteur m'a sensiblement poussée à acheter ce livre. 🙂
Ceci étant, le thème du lâcher-prise m'interroge depuis un certain temps et j'avais donc un réel intérêt pour cet essai, me demandant quelle était la réponse proposée par Denis Doucet à cette problématique.
L'auteur part sur le chemin de la suradaptation ; si nous nous sentons parfois abattu ou déphasé, ce n'est pas parce que nous ne nous adaptons pas à la société, c'est parce que nous nous adaptons trop bien à une société malade qui ne peut nous apporter le bonheur. Cet univers de faux-semblants et d'apparence, de superficialité et de vitesse ne peut nous amener que du stress et du mal-être.
Ayant démontré ceci, le psychologue nous invite à nous recentrer sur ce qui est bon pour nous en ciblant nos priorités et nos besoins.
Rien de bien neuf dans cet ouvrage mais la fable du début a le mérite d'être éclairante et de nous faire prendre conscience de l'inutilité de certaines de nos envies. le personnage de Big Mouth, sorte de personnification de la société d'information et de consommation dans laquelle nous baignons, est une trouvaille intéressante. J'ai cependant parfois eu l'impression que le discours pouvait avoir des accents complotistes (« Vous voyez de qui je parle ? ») ou tout au moins un peu populistes.
Dans le même registre, j'ai préféré les écrits de Fabrice Midal mais ce Principe du petit pingouin a le mérite de nous interroger sur la vie que nous menons et l'influence de notre milieu sur celle-ci; il peut être une bonne introduction en matière de réflexion personnelle.
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