Dans le grenier de sa grand-mère, Max découvre une craie magique d'un aieul qui permet de voyager dans différents pays et de rencontrer des animaux. le titre autant que l'image de la couverture donne envie de découvrir cet univers incroyable. Cette aventure est dépaysante, même si j'ai trouvé les discussions entre les bêtes et Max trop formelles, comme une présentation, et allant de soi. le concept est intéressant puisque fait en collaboration avec le zoo de Beauval mais la forme est un peu bancale. Peut-être que le mélange fantastique et l'aspect écologie animalier peut plaire aux jeunes enfants (à partir de 10 ans).
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BD marketing crée par ou pour le zoo de Beauval afin de parler de leurs pensionnaires. Malheureusement, il n'y a aucune histoire, l'enfant découvre dans une vieille malle ayant appartenu à son grand père une craie "magique" qui lui permet d'ouvrir des portes vers d'autres pays et de partir à la rencontre d'animaux. J'ai cessé d'y croire lorsque les animaux se mettent à parler pour nous faire un cours sur ce qu'ils mangent, quel est leur nom latin, comment ils dorment, etc. C'est un cours plutôt qu'une histoire et selon moi cela ne fonctionne pas même si le sujet des animaux est intéressant. Dommage
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Max est un enfant très curieux. Quand il vient chez sa grand-mère, il adore se plonger dans les livres de sa bibliothèque. Parmi ces livres, il découvre un jour le journal tenu par un aventurier qui était, d'après sa grand-mère, est un de ses ancêtres. Elle lui montre également une malle qui lui aurait appartenu. En fouillant dans celle-ci, il met la main sur une craie en apparence banale sauf que....elle permet d'ouvrir des portes. Max part alors à l'aventure à travers le monde sur les traces de cet ancêtre. Publié en collaboration avec le zoo de Beauval, cette BD au très beau graphisme évoque très bien les relations de l'Homme avec la nature et en particuliers les animaux.
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Gage que la couverture mettant en scène le jeune héros en pleine lecture, enfoncé confortablement entre les jambes d'un ours polaire en guise de fauteuil, les jambes posés sur un tigre en guise de table basse, un petit singe lui réchauffant les pieds et s'éclairant à la lumière d'une craie à l'instar d'une lampe de poche, devrait déjà charmer les jeunes lecteurs.
Le pitch est à demi suggéré, liant le titre à cette craie lumineuse et à la porte tracée par celle-ci sur la pierre.
De quoi parle « la craie des étoiles » ?
Max est un jeune garçon qui va faire une incroyable trouvaille dans le grenier de son arrière-arrière grand-mère Mashka. Il tombera sur le journal de l'arrière-arrière grand-père Théophile de sa Mashka (ce qui renvoie très loin dans le temps) ou plutôt est-ce le journal qui lui tombera dessus ( à découvrir par les lecteurs). C'était le premier résident de la maison, le dernier point de chute de sa retraite.
Le journal est un carnet de voyage qui consigne les différentes destinations d'un Théophile explorateur. La malle de ce dernier offrira à Max une vieille montre et une craie dont parle le journal et qui selon Théophile sont magiques.
La craie ouvre sur des passages dans le monde et la montre ramène le voyageur à son lieu de départ.
Que cela ne tienne, Max teste les objets et cela marche !
Ainsi, Max passera de la Chine au Canada, de l'Inde au Pérou, juste en se dessinant une porte à la craie sur une surface. Pour des raisons que les lecteurs découvriront aussi, Max n'aura pas le temps d'attendre le dernier tic-tac de la montre pour revenir chez Mashka et cela expliquera ses multiples bonds dans l'espace.
A chaque halte, Max se trouve aidé par une fille ou un garçon du lieu et de son âge, pour trouver une direction à suivre et un gîte pour s'abriter.
Il ne faudra pas s'étonner des animaux qui parlent, c'est aussi le pouvoir de la craie.
Max constatera rapidement que ces destinations sont en lien avec les voyages de Théophile et il croit reconnaître dans le paysages ci et là cet aïeul disparu depuis évidement. Ce détail laisse un fil rouge plus important à suivre pour la suite. Si c'est le cas, que peut attendre Théophile du petit Max?
A noter en plus du Théophile caché, l'auteur s'amusera aussi à glisser d'autres références culturelles, de la BD ou du cinéma cette fois et très connus de la jeunesse, petits clins d'oeil ludiques.
Le concept de cette bande-dessinée destinée aux plus jeunes est sympa et la présentation charmante.
A remarquer que s'il n'y avait pas ce jeune héros globe-trotter bien malgré lui à suivre, Max, nous pourrions profiter d'un documentaire autour du thème du voyage, présentant des éléments caractéristiques de ses charmes.
Si quelques éléments posés là renseignent sans commentaires ou avec peu de démonstrations sur des plaisirs culinaires typiques ou géographiques, jouant ainsi sur un éventail plus large des aspects du pays en présence, l'auteur Raphaël Drommelschlager semble donner dans le parti pris du documentaire animalier aux données plus précises, chaque animal rencontré ne se privant pas de développer au jeune Max ce qu'il mange, rendre ses mensurations ou rendre compte de ce qu'il est capable de faire.
Les illustrations, les couleurs, les costumes typiques et les prises de vue choisies, fixant sur le meilleur angle pour mettre en valeur la nature et ses architectures, sont un ravissement pour les yeux et rendent les voyages extraordinaires de Max plus que magique, c'est inspirant pour donner le goût des documentaires pour la jeunesse, développer la curiosité scientifique sur la nature et la flore du monde global dans lequel ils vivent.
La fin de la Bande-dessinée clôt sur une partie documentaire pure et dure sur le Zoo de Beauval, complétant sur les animaux rencontrés.
La trame du scénario est simple, elle emprunte certe de grands raccourcis pour les rencontres qui offrent des répétitions de situations, les dialogues ne sont en effet qu'une excuse pour donner quelques éléments didactiques mais en considérant le public visé, force est de conclure que c'est une idée de vulgarisation très très agréable. L'auteur revient à la fin du tome sur l'intrigue du fil rouge et un événement, astuce efficace, va donner l'envie de poursuivre l'aventure sur le tome deux.
Si les prochaines destinations de la suite sont traitées de la même manière que sur le tome un, il ne faut absolument pas se priver.
Très chouette.
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Une jolie histoire, avec en toile de fond, la protection des espèces en danger sur notre planète.
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Sous couvert de l' histoire fantastique d'une crème magique donnant la capacité de passer d'un point du globe terrestre un autre on va découvrir plein d'informations et de renseignements sur la vie des pays autre que la France et de leurs coutumes et des animaux qui dans ce roman graphique ont la capacité de parler
C'est un roman graphique que j'ai adoré et que je préconise pour les plus jeunes qui nous apprécieront le côté fantastique tout-en-un dur gitan sans s'en rendre compte des informations importantes sur les animaux l'écologie et la disparition de certaines espèces
À la fin de ce premier tome on s'attend à poursuivre la quête de Max pour comprendre ce que voulait faire son grand-père ainsi que peut-être une tentative pour sauver les espèces animales
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