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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Un premier roman avec un coeur grand comme ça, sincère et touchant.

Direction le Sénégal, Karabane, île-village à l'embouchure de la Casamance. C'est là où vit la jeune Aya, douze ans, toutes les qualités du monde mais une maman qui a sombré dans la folie depuis la mort de son mari, un frère migrant qui est parti tenté sa chance en France, un lourd secret qui la contraindra à fuir.

J'ai aimé la concision de ce roman aux allures de conte initiatique qui nous fait suivre la solaire Aya. Si les épreuves qu'elle a à surmonter sont terribles pour une enfant, c'est avant tout une belle histoire de résilience qui nous est narrée, ou comment se libérer du passé pour se forger le destin d'une femme libre et digne.

J'ai aimé que ce conte soit profondément moderne et ancré dans la réalité contemporaine. Avec le personnage du frère Djibril, migrant parmi d'autres échoué Porte de la Chapelle, tout est dit sur le drame de l'Afrique qui voit ses forces vives fuir un Eldorado fantasmé. Avec le personnage de la bonne fée Mona, c'est toute la condition des femmes écrasées sous le poids des traditions qui est éclairée et dénoncée. Mona existe vraiment, tout comme sa Maison rose, un lieu-refuge pour les jeunes filles en détresse, un bel hommage est rendu à son travail humanitaire.

J'ai aimé l'écriture de Marie-Virginie Dru, simple, sensible, soignée, souvent poétique, mais dénuée de tout pathos.

En fait c'est le dernier tiers du roman qui m'a moins convaincue avec ses rencontres fortuites trop appuyées ou improbables qui changent le destin d'Aya et de sa famille. La fin m'a un peu perdue. Oui, je sais, dans un conte , tout peut arriver, seule compte la fin, mais là, j'avais peut-être envie d'autre chose pour clôturer ce roman.
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Je voudrais avant tout remercier toute l'équipe de Babelio et les éditions Albin Michel pour l'envoi de ces épreuves non corrigées du roman "Aya " de Marie - Virginie Dru..
Ce roman a suscité en moi de multiples réactions. Procédons par ordre : l'action commence au Sénégal , sur l'île de Karabane où la jeune Aya, 12 ans , veille sur sa mère Aîssatou , qui a perdu la raison suite au décès de son mari dont le corps , disparu en mer , n'a jamais été retrouvé. le grand - frère Djibril , lui , a quitté le pays pour l'El Dorado français et seul le jeune et beau Ousmane apporte réconfort et ...amour à la jeune fille...Et puis , et puis , il y a l'oncle Boubacar, le " protecteur".
Première réaction de ma part , une superbe description de la vie quotidienne au village , des croyances , des légendes , des entraides , des cris , des odeurs , la vie africaine avec toute sa chaleur humaine , une image de paix , de simplicité , d'humilité , de vie sereine...sauf pour Aya...
Et puis , il y a l'oncle Boubacar....( Oui , je l'ai déjà dit , mais je le répète...) . Et puis Dakar , Paris avec Djibril , puis encore Dakar , Ousmane , Léo , Karabane , Dakar....retour aux sources après un parcours tourmenté, tortueux , incroyable , semé d'embûches , de désespoir ou d' espérance....
Ce roman ne se raconte pas , il se vit de l'intérieur, remue les tripes du plus insensible des lecteurs. Aya est plus qu'un personnage , c'est le porte - parole de toute une jeunesse féminine opprimée , écrasée par le poids des traditions et de l'exploitation masculine , une jeunesse outragée , piétinée mais toujours debout , fière et déterminée à faire reconnaître des droits légitimes , fragiles car contestés. Il sera très intéressant d'analyser les réactions des différents personnages apportant leur aide à la jeune fille , leurs forces et leurs faiblesses , leurs convictions et leurs limites , des réactions humaines , quoi...
Le style ne varie guère du début à la fin et s'avère au final assez rébarbatif , un peu lassant , fatiguant , manquant d'enthousiasme alors que la situation l'aurait parfois demandé .Si le sujet est sérieux et assez désespérant , un peu plus " d'allant " aurait été le bienvenu, à mon avis , bien entendu...et seulement à mon avis . J'ai trouvé que cette histoire se " perdait un peu en route " malgré sa brièveté et j'ai quitté Aya avec un certain sentiment de frustration , le dénouement n'étant pas , à mon avis , à la hauteur de l'intérêt suscité dans la bonne première moitié du récit .
Pour moi , c'est un bon roman , sans concession mais sans pathos , le bon compte - rendu d'une terrible expérience de vie personnelle , une situation dramatique qui ne nous apprend rien et n'apporte pas vraiment de réponse à un sujet contemporain gravissime.....
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Merci infiniment à Babelio et aux éditions Albin Michel pour m'avoir donné la chance de découvrir ce livre avant sa parution. Dès le prologue, on est plongé dans l'horreur : le viol d'une enfant qui a encore l'âge de jouer à la poupée. le décor est planté rapidement et brièvement. La mère semble au courant des actes de son frère, mais ne réagit pas. Les voisins disent que « la petite est aussi délabrée que cette pauvre Aïssatou… » Le récit proprement dit commence à Karabane, qui a la particularité d'être à la fois une île et un village, selon Wikipédia. Une lecture rapide de l'article qui est consacré à ce lieu m'a permis de comprendre que le roman s'inspire en partie de faits réels, le naufrage du Joola, entre autres, dans lequel est mort le père d'Aya.
***
Un narrateur à la troisième personne nous permet de suivre différents personnages dans un récit au présent. Nous rencontrerons Boubacar, l'oncle violeur ; Aïssatou, la mère que le deuil a enfermé dans son monde intérieur ; Fatou, la femme de Boubacar, sincère et généreuse (et bien naïve) ; Ousmane, le jeune garçon très attiré par Aya (et c'est une attirance réciproque qui amène de vrais moments de répit) ; Djibril, le frère aîné qui a fui en France, vers ce qu'il croyait être un monde meilleur ; Camille, une française, photographe amoureuse de l'Afrique ; Mona, qui se bat tous les jours pour garder à flots la Maison rose, centre d'accueil pour jeunes filles enceintes, ou plutôt pour petites fille enceintes, Madeleine, etc. Nous suivrons certains de ces personnages et nous voyagerons ainsi avec des allers-retours en Casamance, à Dakar, à Paris, et Aya grandira, mûrira au prix de grands sacrifices.
***
Ce roman est intéressant à plus d'un titre. Il immerge le lecteur dans un milieu inconnu et lui fait partager une vie quotidienne difficilement concevable pour un Européen d'aujourd'hui. Il décrit une réalité révoltante : le viol d'une petite fille et son total désarroi quand survient l'inévitable grossesse. Il nous présente cette petite fille blessée, perdue, qui garde foi en l'avenir, et parvient à s'en sortir en dépit de tout. Il met en valeur le dévouement et la générosité de certaines Européennes qui abandonnent tout pour aider les populations autochtones. On comprend aussi en parcourant les brèves biographies de l'auteure que l'on trouve sur Internet à quel point cette histoire la touche personnellement : Virginie Dru, photographe, sculptrice et auteure, se révèle très active au sein de la Maison rose à Dakar. Si cette lecture m'a vraiment émue, elle ne m'a pourtant pas transportée. Cela tient, je crois, au fait que j'ai trouvé certains personnages insuffisamment développés et l'écriture très inégale. Je me suis laissé emporter par de beaux moments poétiques, par de jolies trouvailles, et par cette histoire terrible. En même temps, j'ai été déçue par certains lieux communs, des situations attendues (le « châtiment » de l'oncle !) et surtout, surtout par la fin, que je ne peux m'empêcher de voir comme une capitulation… Il n'en reste pas moins qu'il s'agit d'un roman touchant et nécessaire.
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Le roman Aya de Marie-Virginie Dru n'a pas su percer mon coeur de lectrice. Cette histoire d'une petite fille sénégalaise violée par son oncle pendant que l'on suit le parcours de son frère migrant ne m'a pas touchée, même si le caractère violent et répété des scènes d'agressions sexuelles intrafamiliales ne peut que choquer. J'ai eu la désagréable sensation que l'autrice n'arrivait pas à se glisser entièrement dans la peau de ses personnages, comme si elle se projetait sur eux plutôt que de leur conférer une entité propre et authentique. On sent pourtant de la part de Marie-Virginie Dru un amour profond pour le Sénégal et une volonté de sensibiliser le lectorat sur des problématiques actuelles sur lesquelles nous fermons trop souvent les yeux.

Hélas, je n'ai pas cru à ces trames narratives, trop entortillées à mon goût avec des clichés qui auraient mérité un tissage plus adroit. D'un côté, une petite fille enceinte recueillie par une association humanitaire ; de l'autre, un adolescent en pleine désillusion, perdu dans les méandres de la vie parisienne, à mille lieues de son île de Karabane. Un lien entre ces deux histoires assez bancal et frôlant encore une fois la caricature : Camille, une artiste blanche qui expose ses photographies prises sur l'île des deux enfants à Paris. Et c'est peut-être là ce qui m'a le plus gênée : le numéro d'équilibriste de Marie-Virginie Dru avec le complexe du sauveur blanc. D'ailleurs, ces phrases de la quatrième de couverture de me détrompent pas : "Aya, c'est toute la ferveur et la fragilité de l'Afrique, dans une magnifique histoire de résilience que la plume sensuelle, poétique et mélodieuse de Marie-Virginie Dru fait vibrer tel un chant initiatique.". L'Afrique, une généralité. Je serais bien curieuse de trouver un jour une phrase similaire sur l'Europe dans une quatrième de couverture. On pourrait m'opposer ma mauvaise foi car il s'agit des mots de l'éditeur, sauf que des paroles similaires sont placées dans la bouche du personnage de Camille ("dès que cette petite fille s'est approchée, mon coeur a flanché. Il y a en elle toute la force et la fragilité de son pays. J'ai l'impression de la connaître depuis toujours.") et de la responsable de l'association humanitaire ("En cherchant comment les aider au mieux, je me suis sauvée moi-même d'une vie facile qui n'était pas pour moi."). Dès lors, qui sont les héros de cette histoire ?

Pour finir sur une note positive, le style fluide et le choix des ellipses temporelles doivent être salués. Gageons que Marie-Virginie Dru saura utiliser ces atouts pour un prochain roman qui saura, lui, faire battre mon coeur.

Merci à Babelio pour l'envoi de ce livre
Lien : https://www.chezlaurette.org..
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Aya est un roman qui possède tous les ingrédients pour toucher son lecteur, avec au centre une famille au destin tragique que les enfants vont essayer de conjurer, plus ou moins heureusement, l'un en partant pour vivre le "rêve" européen, l'autre, Aya, personnage principal, en s'enfuyant de son île pour notamment échapper à un oncle incestueux et aux conséquences de cet inceste.

Mais, malgré ces ingrédients, ce roman n'a pas réussi à me toucher, et ce pour deux raisons principales. Tout d'abord, parce que l'intrigue m'a semblé un peu trop facile, c'est-à-dire que chaque évènement qui change le cours de la vie d'Aya ou d'un de ses proches arrive un peu trop à point nommé : entre les rencontres fortuites, ou au contraire manquées à un cheveu, les personnages qui changent de psychologie du tout au tout pour finalement correspondre au fil tissé par l'histoire choisie par son auteure - je pense surtout à la fin qui ne m'a pas paru crédible vu le caractère de la jeune femme - ... J'ai eu l'impression de lire un conte bien plus qu'une histoire se voulant réaliste - à moins que je n'aie pas saisi l'enjeu de ce roman, ce qui rendrait les choses bien différentes. Cette succession d'évènements ne m'a pas du tout permis d'entrer pleinement dans l'histoire comme je l'aurais souhaité, ne croyant pas une seconde à ce que je lisais. de plus, j'ai trouvé que les personnages, peut-être encore davantage Aya que les autres, manquaient franchement d'épaisseur : leurs ressentis, bien que transcrits plus ou moins longuement au fil du roman, sont pour moi restés trop en surface, comme s'il avait été difficile de faire de ceux-ci de véritables êtres de papier prenant vie au fur et à mesure de l'histoire, et ainsi les rapprocher d'une forme de réalisme donnant plus de poids à l'intrigue qui posait justement souci à ce sujet. Les personnages m'ont semblé comme plaqués à une histoire qui ne leur correspondait pas. En somme, j'ai eu l'impression, tout au long de ma lecture, de voir apparaître trop lourdement toutes les ficelles narratives de création du roman, comme si tout venait nous dire que oui, nous sommes bien dans de la fiction. Et j'ai, dans ces cas-là, bien du mal à être touchée par ce que je lis, étant mise à distance du récit et de ceux qui sont censés le vivre, et moi à travers eux, par procuration.

Cependant, je tiens à souligner que la plume de Marie-Virginie Dru est agréable à lire et à suivre, toute en poésie et en pudeur qui correspond parfaitement au sujet évoqué, même si cela n'a malheureusement pas suffi à m'émouvoir.

Je remercie les éditions Albin Michel et Babelio de m'avoir permis de découvrir ce roman, qui, sans avoir été un coup de coeur pour les raisons sus-citées, n'a pas été une lecture désagréable pour autant. Je l'ai en effet lu quasi d'une traite, c'est dire !
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Je remercie Babelio et l'édition Albin Michel pour m'avoir envoyé ce livre dans le cadre d'une opération masse critique privilégiée.

Aya c'est une jeune fille de 12 ans qui se fait violer par son oncle. Aya c'est une merveilleuse joie ainsi qu'une horrible tristesse. Aya ce sont les couleurs de l'Afrique, sa générosité dans toute sa splendeur. Aya c'est une aventure de grand pour une petite fille. Aya c'est la rencontre de l'innocence des enfants avec les atrocités de la vie.

Personnages :
Il y a un grand nombre de personnages, tous différents et qui apportent beaucoup à l'histoire. D'abord il y a l'oncle Boubacar qui est un peu à l'origine de l'histoire. Boubacar c'est l'oncle violeur, nous ne connaissons que peu de choses à son sujet mais le peu est déjà suffisant…
Le chapitre 2 est à son point de vue, ce chapitre est à son image : grossier, misérable et brutal.

Aya m'a parue douce et est la joie incarnée. Enfin la joie,...que quand son oncle ne traîne pas dans les parages… Tout au long du livre elle fait preuve d'un courage extraordinaire et au final, elle montre que jamais rien n'est perdu.

Puis il y a Aïssatou, la maman d'Aya. Après le naufrage du Joola où son mari a péri, elle divague et ne s'en ai toujours pas remise.

Et enfin tous les personnages secondaires, comme Mona, Ousman, Camille, Cissé ou encore Madeleine. Malgré le peu d'informations sur eux, il est facile de les cerner et de comprendre quel type de personnes ils sont. Et c'est formidable.

Histoire :
Les premières pages sont très difficiles, Marie-Virginie Dru n'écrit pas avec des pincettes, et tout au long du livre, n'hésite pas à user de mots crus et durs. La perception des douleurs des personnages est souvent très présente et, punaise que c'est difficile !
J'ai été surprise par l'écriture de Marie-Virginie Dru car elle exprime ses idées d'une façon à ce que toute les images vous viennent en tête. J'ai vraiment bien aimé pour le début du bouquin. C'est super car quand elle plante le décor ou les personnages ça aide à accrocher à l'histoire. Seulement, au fur et à mesure de l'histoire il aurait fallu user d'un autre procédé, ça devient lourd et épuisant. Surtout parce que ce livre traite des sujets délicats et que, de ce fait, le lecteur a besoin d'un peu plus de légèreté (sans étouffer complètement le sujet).

En parlant du début je trouve ça génial d'avoir parlé des cultures.
“En Casamance, on ne meurt pas pour de vrai. On reste toujours présent dans les arbres, les pierres, les rivières… La mort, c'est l'autre côté de la vie. A Karabane, les morts sont autour de nous, ils nous voient, pas nous. C'est tout.”
Alors je ne sais pas si les coutumes, croyances dans ce livre sont réelles ou sortent directement de la tête de l'auteur mais j'ai pris un réel plaisir à lire ces passages.
“Kadijatou, comme tous les nouveau-nés, tient dans ses poings fermés les clés du paradis, on lui a si souvent raconté.”

J'ai été déçue de la fin de ce livre. Tout simplement car

Conclusion :
Un livre intéressant qui conte l'histoire d'une petite fille qui va devoir grandir trop vite. Ce bouquin comporte des scènes qui peuvent être choquantes mais a aussi une écriture très belle (malgré le fait qu'elle devient pesante à la fin). Les personnages, coutumes, croyances sont super.
Lien : https://unelectureparminute...
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Aya a douze ans. Elle vit dans un petit village d'Afrique, avec sa mère qui a perdu la raison après la mort de son mari et la disparition de son fils.
Aya a douze ans et est amoureuse d'Ousmane qui a deux ans de plus qu'elle.
Aya a douze ans et un oncle qui abuse d'elle régulièrement sans que la petite fille n'ose le dénoncer.
Puis Aya tombe enceinte et décide de quitter son village pour fuir cet oncle. Elle trouve refuge à La Maison Rose, là où personne ne juge ou ne condamne.
Pendant ce temps, le frère d'Aya, Djibril, parti pour l'Europe et des rêves d'une vie meilleure rejoint la cohorte de ceux qu'on appelle migrants à Paris.

Ce roman vibrant de désespoir est aussi un récit touchant et plein d'humanité. C'est aussi un bel hommage rendu à ceux qui se battent au quotidien et à ceux qui tentent de les aider, comme ces femmes qui tiennent La Maison Rose.
Si l'histoire est terrible, la lumière qui émane d'Aya malgré tout est extrêmement émouvante. Ce roman est avant tout une histoire de courage, de force et de dignité.

Merci à Babelio et à l'opération Masse critique ainsi qu'aux Éditions Albin Michel pour cette lecture
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Un premier roman touchant et rempli de sincérité ! Nous voici parti en voyage au Sénégal, à Karabane plsu exactement. A travers ces pages on sent la passion pour ce pays de l'autrice. Si dans ce premier roman on rencontre des imperfections, ce livre traite un sujet grave qui ne peut que toucher, c'est dommage qu'il soit si court car au final j'aurai aimé plus de pages afin d'avoir encore plus de détails.
La plume de l'autrice est très belle, un mélange de douceur et de poésie qui fait que ce premier roman possède un joli mélange d'ingrédients et une réalité ce qui permet de toucher le lecteur !
Et petite note en plus la jolie couverture de ce roman qui reflète parfaitement Aya....
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