Jean-Paul Dubois, toujours aussi désabusé, nous entraine sur les pas de Paul qui a mis entre lui et sa famille toute la distance qu'il a pu: l'éloignement (Miami-Toulouse), la différence de cadre de vie (vie chiche contre confort bourgeois), l'écart de statut social (médecin / Pelotari), ... Et pourtant il n'échappera pas au destin de sa famille jusqu'à ressembler au père qu'il détestait. le ton du roman teinté d'un humour parfois caustique fait accepter ce terrible fatalisme.
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