AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Diomedeine


Leçon de mécanique de la passivité.

Laissez-moi m'adresser à Sneijder :

"D'abord victime tu es. Tu ne réagis pas - sinon intérieurement. Mais, alors, la rebellion te guette, fatalement.

De victime, tu deviens alors coupable ou, au mieux... malade ou fou.

(Car être normal, dans cette société, c'est vouloir briller en société et vouloir de l'argent).

Si ton attente, à la fin, se réalise et qu'une pluie d'animaux morts survient, suivie, pour ta vengeance, de la mort de tes bourreaux, alors de quelle faute le malheur qui t'a frappé est-il, de son côté, la vengeance ?
Une pluie d'animaux mort ne l'a-t-il, effectivement, précédé ?"

Cela me rappelle quelque chose... Mais quoi ? ;-)

"En tous les cas, tu vois, avec une telle attitude passive et un tel raisonnement, même victime, tu auras toujours le statut de coupable."

C'est le message que l'auteur voulait faire passer ?

Quant à cette autre petite musique "l'ascenseur résume les maux de notre société, révèle la petitesse humaine"...

Même si j'ai parfois, il est vrai, un peu ri, si j'ai éprouvé beaucoup d'empathie pour le personnage principal - avec une certaine réserve, donc, quant à sa passivité, je me suis, surtout un peu ennuyée.

J'avais bien aimé le film, avec Thierry Lhermite : le format d'1h30 m'avait suffi et je ne me souviens pas de digressions sur les ascenseurs.





Commenter  J’apprécie          10



Ont apprécié cette critique (1)voir plus




{* *}