Volume bien sanglant à la hauteur de sa couverture, qu'il s'agisse de Poppée, Massam, Balba et Lucien, chacun de ses personnages fait couler le sang. On avance dans un cycle bien sombre où tout le malheur s'abat sur les bas-fonds de Rome sans toucher l'empereur, encore bien perché dans ses plans d'amour du peuple et co. C'est aussi pour mieux nous emmener vers une autre terre bien neigeuse de la Gaule. A suivre...
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