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Critique de Stefane59


Alexandre Dumas Ascanio. Ed. Omnia Poche 505 p. 5 étoiles.
Un version plus moderne est proposée par cet éditeur qui n'a rien à voir avec la couverture présentée ici. L'ISBN de la version Omnia Poche : 9 782841 005529.

Un joyau. Une merveille.
De l'aventure ? Dès es premières pages jusqu'à la page 66 : duel, emprisonnement, préparation d'évasion…
Benvenuto n'a d'yeux que pour son Art : la sculpture et l'orfèvrerie.
Il se fait un ami du Roi de France et des ennemis tout aussi puissants dont… la Maîtresse Royale. Et cela en quelques minutes. Très fort Cellini … 😊
Un amour-passion tisse sa toile (p 185 à 235) : d'extraordinaires passage dévoilant progressivement comment l'amour se développe jusqu'à toucher l'âme.
Plutôt celle des femmes d'ailleurs. Et leur capacité à emporter le coeur des hommes, qui passent pour des ignares dans ce domaine.
Et régulièrement la mise en abîme de l'Amour pour la création, pour l'Art. Et l'amour pour …l'Amour.
P 250 Ascanio en prend plein la vue… 😊
Entre la page 336 et 372, le récit subit un petit creux d'intérêt.
Quelques petites incohérences :
- Jacques Aubry donne le code d'entrée à un inconnu
- Benvenuto ne demande pas à Marmagne comment il est arrivé à entrer et qui ne pose aucune question à ses apprentis pour trouver la vérité.
P 356 : Dumas décrit précisément le mobilier du logement mais …ne manquerait-il pas un…pot de chambre ?
P 404 : trop grosse ficelle : Jacques est vraiment un peu demeuré…
P 413 : 15 ans au mitard sans lumière… ?
427 : peu réaliste
Cet ouvrage mériterait de servir de trame pour une pièce de théâtre.
Un récit qui nous emporte dans un tourbillon jusqu'aux dernières lignes de l'ouvrage. Dont on ressort l'âme vibrante…encore longtemps après l'avoir refermé.
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