Pauline, ou quand Dumas fait du
Walter Scott. C'est ce qui m'a le plus frappé en le lisant en tout cas, par l'ambiance, les ficelles du récit. Dépaysant par rapport au Dumas habituel, mais on passe un bon moment comme toujours.On comprend par ailleurs, puisque c'était visiblement à la mode à l'époque, qu'il ait tenté d'en profiter.
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