C'est ce qu'exprime le "goûtes-y", goûtes-y donc": c'est l'envie, le besoin que tous les convives participent au repas également.
Il y a quelque chose d'un peu évangélique-ou anthropophagique- dans mon petit sermon, je le reconnais. Du coup, je pense au pain (j'éviterai le sel). Normalement, le pain se laisse partager, le pain est un ami.(p. 23)