"Afrique , terre qui meurt", écrivait en 1944 Jean-Paul
Harroy -continent dont la vocation semble d'être pillé, pôle d'attraction de nos cupidités et de nos rêves d'expansion auxquels il nous est bien difficile de renoncer ,asphyxiés dans notre hexagone et notre médiocrité confortable. Support de nos abstractions idéologiques et, aujourd'hui ,cimetière de nos désillusions.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.