Lu en 2005
C'est la 1ère et la dernière phrase du roman prononcée par Ferrer, marchand d'art. Il commence par quitter sa femme, puis on le suit dans un voyage au pole nord où il va récupèrer un trésor d'ancien art esquimau, puis dans sa galerie. Les chapitres se chevauchent, passé/présent, Ferrer/Baumgartner, on suit un personnage pdt un chapitre, puis un autre, à un moment présent, puis dans le passé. C'est pas mal écrit mais ça reste un roman, les situations sont souvent trop extrémistres pour être vraies. Il s'intéresse plus à l'action qu'à la façon de la vivre.
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