Le lecteur pressé peut aller directement à la page 97. le clash entre Wittgenstein (le frère de), interprète manchot et
Ravel, compositeur, donne un peu d'intérêt au personnage. Pour le reste, on apprend peu sur
Ravel, assez peu sympathique, à part que le Boléro a été composé par paresse et que son auteur le considérait comme "vide de musique". de quoi ramener sa culture dans les dîners en ville. On ne retrouve pas du tout la magie de "
Courir".
Echenoz a-t-il voulu dresser une sorte d'autoportrait à travers ce compositeur ? Un livre dont le seul intérêt est de donner envie de (re)découvrir des morceaux de
Ravel.
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