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Critique de Hoody
Je ne sais dire si la Belgariade est un monument mais, ce qui est sûr, c'est que la découverte de ses 5 tomes a irrémédiablement dirigé l'ado pubère que j'étais sur les voies merveilleuses de la Fantasy.
Il n'y a en effet pas de meilleure Saga pour mettre le pied à l'étrier. On peut parler d'Héroic Fantasy, dans mon jargon j'aurais tendance à parler de Soft Fantasy. On est vraiment du côté des gentils dans un monde empreint de magie mais où nous n'aurons aucune chance de croiser un Elfe ou un Nain.
Le récit s'articule autour d'une poignée de personnages bigrement attachants et menés par Belgarath le Sorcier, dans un seul et unique but : retrouver l'Orbe d'Aldur avant que celle-ci ne parvienne jusqu'au félon Torak, qui pourrait alors assurer sa domination sur les Royaumes du Ponant.
Chaque tome est généreux, ponctué de péripéties. le récit, quant à lui, gagne en intensité au fur et à mesure. La Guerre gronde et la prophétie avance ses pions. Pour notre plus grand plaisir.
Nous avons eu la chance que le Seigneur des Anneaux soit adapté sur grand écran mais je me demande si les chants de la Belgariade n'auraient pas mérité leur petit coup de projecteurs, eux aussi. Toutes les planètes devaient être alignées pour que David Eddings nous ponde une telle histoire. J'avoue, ensuite, avoir eu plus de mal à découvrir le reste de ses oeuvres : la trilogie des Joyaux, la Mallorée, les Rêveurs, ... n'ont pas rencontré le même succès à mes yeux : elles ont sans doute souffert d'une comparaison constante avec les chants de la Belgariade.
A découvrir à tout âge.
Il n'y a en effet pas de meilleure Saga pour mettre le pied à l'étrier. On peut parler d'Héroic Fantasy, dans mon jargon j'aurais tendance à parler de Soft Fantasy. On est vraiment du côté des gentils dans un monde empreint de magie mais où nous n'aurons aucune chance de croiser un Elfe ou un Nain.
Le récit s'articule autour d'une poignée de personnages bigrement attachants et menés par Belgarath le Sorcier, dans un seul et unique but : retrouver l'Orbe d'Aldur avant que celle-ci ne parvienne jusqu'au félon Torak, qui pourrait alors assurer sa domination sur les Royaumes du Ponant.
Chaque tome est généreux, ponctué de péripéties. le récit, quant à lui, gagne en intensité au fur et à mesure. La Guerre gronde et la prophétie avance ses pions. Pour notre plus grand plaisir.
Nous avons eu la chance que le Seigneur des Anneaux soit adapté sur grand écran mais je me demande si les chants de la Belgariade n'auraient pas mérité leur petit coup de projecteurs, eux aussi. Toutes les planètes devaient être alignées pour que David Eddings nous ponde une telle histoire. J'avoue, ensuite, avoir eu plus de mal à découvrir le reste de ses oeuvres : la trilogie des Joyaux, la Mallorée, les Rêveurs, ... n'ont pas rencontré le même succès à mes yeux : elles ont sans doute souffert d'une comparaison constante avec les chants de la Belgariade.
A découvrir à tout âge.
