Citations sur Le garçon dans le chêne (19)
Ces crétins d’immigrés ne sont capables que de vendre de la came et d’attaquer les personnes âgées. En revanche, ils sont incapables de bosser, comme mon père, qu’on est allé chercher à Mostar dans les années 50 et qu’on a fait venir ici, à Malmö, pour qu’il se crève la paillasse chez Kochum pendant trente ans. Jusqu’à ce qu’il ait le dos en compote.
La meilleure façon de ne pas savoir, c’est de ne pas demander.
Je comprends que le problème, en Suède...c’est cette liberté. Chacun est seul. À Möllevången, on a retrouvé une femme morte, chez elle, depuis un an. La maison empestait le cadavre. Mais ici, il n’y a pas de famille, personne ne se soucie de vous ni ne vous prend en charge. Alors que chez nous, si. On aime nos enfants. Ils sont notre avenir.
...j’ai assez l’expérience de ce type de jeunes, même s’ils sont en général un peu plus âgés, pour savoir qu’ils sont capables de n’importe quoi quand ils sont sous l’emprise de l’alcool. Le mélange de stéroïdes et de ce qu’ils ont bu devient explosif et ils « pètent les plombs »
Le Coran et la Bible, deux versions de la même chose. Il n’y a que les noms qui changent: Jésus / Isa, Abraham / Ibrahim, Marie / Myriam. C’est marrant, ce genre de parallélisme. Quant à savoir lequel de ces deux livres est le plus misogyne...
Les filles comme ça sont capables de mettre le feu à toute une discothèque, au sens figuré, bien entendu.
Elle était... comment dire... formidable. Très douée, drôle, un peu folle. Je n’ai jamais connu une fille animée d’une telle joie de vivre, malgré tout ce qu’elle a vécu. Elle en débordait littéralement et il était impossible de ne pas se laisser contaminer. C’est simple: elle illuminait tout ce qu’il y avait autour d’elle et tous ceux qu’elle appréciait. Envers les autres, elle était cassante et pouvait même se montrer cruelle. C’était comme ça, avec elle: tout l’un ou tout l’autre. Ceux qu’elle aimait bien, elle les adorait. Les autres, elle les envoyait balader. Pas de demi-mesures.
Mais j’ai pas pu sucer la tienne, parce que t’arrives même pas à bander. » Tout le monde s’est marré et il est devenu vert. Elle savait comment les remettre en place, les types. S’ils lui disaient quoi que ce soit, elle répliquait sur le même ton, mais en pire, et c’était toujours elle qui gagnait. Ils ont fini par... avoir peur d’elle, quoi. Ils craignaient trop d’être ridiculisés.
Je ne vous cacherai pas que je suis loin d’avoir une bonne opinion des musulmans. J’ai toujours nourri des doutes à propos de cette religion des peuples du désert. Cela n’a rien à voir avec la culture arabe, pour laquelle j’ai beaucoup de respect, au même titre que celle des Grecs, des Hindous ou des Chinois.
On ne revient pas en arrière, hélas...