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Critique de pititecali
Très surprise d'avoir autant aimé !!
Un jour, Irrésistible Alchimie est sorti, et toute la blogo s'est enflammée. Ca m'a rendue très curieuse de le découvrir, mais ce livre représentait pour moi tout ce que je déteste dans la littérature young-adult, de la romance, pas un poil de fantastique, des clichés monstrueux... du coup, impossible de me motiver à me le procurer.
Et puis... Et puis Elo Marly m'en a fait cadeau. Encore une fois, grand merci à elle, parce que je pense que je n'aurais pas sauté le pas toute seule, tellement j'étais certaine que j'allais être la seule à ne pas aimer ce petit phénomène.
Et au final, matez-moi cette note ! J'ai hésité un moment entre le 5/5 classique et le 5/5 mention "coup de coeur". Et puis je me suis dit que si j'hésitais justement, c'est que je n'avais pas eu ce "coup de coeur", mais croyez-moi, on en est passé à un micro cheveu !
Vraiment, du fond du coeur, et aussi incroyable que ça puisse paraître me connaissant, j'ai vraiment adoré ce livre.
Il est tout ce que je déteste, et je l'ai dévoré.
Le héros, Alejandro, est l'image même du cliché ambulant, mexicain, chaud comme une baraque à frites, le regard de braise et les tablettes de chocolat en avant, faisant rouler ses tatouages sur ses biceps, bad boy, membre d'un gang, qui commence à craquer sur la petite jeune fille "perfecta" du lycée, capitaine des pompom girls et pourtant... Pourtant je mentirais en disant qu'il ne m'a pas fait (beaucoup) d'effet...
Sérieusement, Alejandro, je me le beurrerais bien sur une tartine ! (ce qui ferait de moi une putain de cougar, on est d'accord.)
Bref, Simone Elkeles, par je ne sais quel miracle, a éveillé en moi des désirs, des besoins, des goûts qui étaient jusque là tellement bien enfouis que je n'en avais aucune conscience. J'ai craqué.
Craqué sur son style direct (pourtant, l'écriture au présent et le style young adult, plutôt faible en général, auraient normalement plutôt tendance à me rebuter) qui a su me parler, craqué pour ses descriptions torrides, craqué pour son personnage masculin, Alejandro Fuentes, et ses mots en espagnol qui réchaufferaient la culotte glaciaire (Attention, alerte, ceci n'est absolument pas un lapsus, mais un jeu de mot totalement volontaire !).
Je veux dire, le mec un peu ténébreux et hyper bien foutu, qui te regarde avec ses yeux de braise et qui te sort du "Dios mio, tu as l'air... préciosa !" et qui l'instant d'après t'embrasse goulument comme si sa vie en dépendait et ajoute "Regarde-moi, mamacita, je ne me moquerai jamais de toi."
Ben euhhh *jambes en pate à modeler* je ne savais pas que ça me ferait craquer, mais ça l'a fait ! Lol !
Bref, ce roman, qui à la base me semblait n'avoir pas grand chose pour lui, m'a complètement embarquée et je me suis beaucoup amusée de me laisser emmener comme ça, dans un genre et un univers qui me laissent habituellement complètement froide... Comme quoi, il n'y a pas de règle !
Maintenant qu'il est terminé, limite si je ne vais pas me jeter sur le tome 2, mon côté cougar appelle de la chair fraîche et Alejandro me manque déjà !
Ok, cette chronique est pourrie, et pas du tout construite ou même vraiment argumentée (et en tout cas, clairement pas très sérieuse ! Lol), mais finalement, c'est Alejandro qui a fait que ce livre m'a tant plu, c'est un fait, inutile de s'attarder sur le reste.
L'écriture est sympa, la couv est moche, les persos sont hyper caricaturaux, ça reste une histoire d'ado au lycée, les pauvres, les riches, le fossé entre eux, les profs, les flics, les gangs... Rien d'exceptionnel. Et pourtant, bordel oui, ça marche très bien et on se laisse prendre au jeu comme une midinette de 15 ans !
Bref, je surconseille, une vraie réussite (dans sa catégorie bien sûr, ça ne sera jamais du Shakespeare, quel que soit l'effet que nous font ces jeunes lycéens au corps d'Apollon !)
Pour une petite escapade livresque pimentée dont on n'a pas à rougir !
Cali
Lien : http://calidoscope.canalblog..
Un jour, Irrésistible Alchimie est sorti, et toute la blogo s'est enflammée. Ca m'a rendue très curieuse de le découvrir, mais ce livre représentait pour moi tout ce que je déteste dans la littérature young-adult, de la romance, pas un poil de fantastique, des clichés monstrueux... du coup, impossible de me motiver à me le procurer.
Et puis... Et puis Elo Marly m'en a fait cadeau. Encore une fois, grand merci à elle, parce que je pense que je n'aurais pas sauté le pas toute seule, tellement j'étais certaine que j'allais être la seule à ne pas aimer ce petit phénomène.
Et au final, matez-moi cette note ! J'ai hésité un moment entre le 5/5 classique et le 5/5 mention "coup de coeur". Et puis je me suis dit que si j'hésitais justement, c'est que je n'avais pas eu ce "coup de coeur", mais croyez-moi, on en est passé à un micro cheveu !
Vraiment, du fond du coeur, et aussi incroyable que ça puisse paraître me connaissant, j'ai vraiment adoré ce livre.
Il est tout ce que je déteste, et je l'ai dévoré.
Le héros, Alejandro, est l'image même du cliché ambulant, mexicain, chaud comme une baraque à frites, le regard de braise et les tablettes de chocolat en avant, faisant rouler ses tatouages sur ses biceps, bad boy, membre d'un gang, qui commence à craquer sur la petite jeune fille "perfecta" du lycée, capitaine des pompom girls et pourtant... Pourtant je mentirais en disant qu'il ne m'a pas fait (beaucoup) d'effet...
Sérieusement, Alejandro, je me le beurrerais bien sur une tartine ! (ce qui ferait de moi une putain de cougar, on est d'accord.)
Bref, Simone Elkeles, par je ne sais quel miracle, a éveillé en moi des désirs, des besoins, des goûts qui étaient jusque là tellement bien enfouis que je n'en avais aucune conscience. J'ai craqué.
Craqué sur son style direct (pourtant, l'écriture au présent et le style young adult, plutôt faible en général, auraient normalement plutôt tendance à me rebuter) qui a su me parler, craqué pour ses descriptions torrides, craqué pour son personnage masculin, Alejandro Fuentes, et ses mots en espagnol qui réchaufferaient la culotte glaciaire (Attention, alerte, ceci n'est absolument pas un lapsus, mais un jeu de mot totalement volontaire !).
Je veux dire, le mec un peu ténébreux et hyper bien foutu, qui te regarde avec ses yeux de braise et qui te sort du "Dios mio, tu as l'air... préciosa !" et qui l'instant d'après t'embrasse goulument comme si sa vie en dépendait et ajoute "Regarde-moi, mamacita, je ne me moquerai jamais de toi."
Ben euhhh *jambes en pate à modeler* je ne savais pas que ça me ferait craquer, mais ça l'a fait ! Lol !
Bref, ce roman, qui à la base me semblait n'avoir pas grand chose pour lui, m'a complètement embarquée et je me suis beaucoup amusée de me laisser emmener comme ça, dans un genre et un univers qui me laissent habituellement complètement froide... Comme quoi, il n'y a pas de règle !
Maintenant qu'il est terminé, limite si je ne vais pas me jeter sur le tome 2, mon côté cougar appelle de la chair fraîche et Alejandro me manque déjà !
Ok, cette chronique est pourrie, et pas du tout construite ou même vraiment argumentée (et en tout cas, clairement pas très sérieuse ! Lol), mais finalement, c'est Alejandro qui a fait que ce livre m'a tant plu, c'est un fait, inutile de s'attarder sur le reste.
L'écriture est sympa, la couv est moche, les persos sont hyper caricaturaux, ça reste une histoire d'ado au lycée, les pauvres, les riches, le fossé entre eux, les profs, les flics, les gangs... Rien d'exceptionnel. Et pourtant, bordel oui, ça marche très bien et on se laisse prendre au jeu comme une midinette de 15 ans !
Bref, je surconseille, une vraie réussite (dans sa catégorie bien sûr, ça ne sera jamais du Shakespeare, quel que soit l'effet que nous font ces jeunes lycéens au corps d'Apollon !)
Pour une petite escapade livresque pimentée dont on n'a pas à rougir !
Cali
Lien : http://calidoscope.canalblog..
