Ne s invente pas écrivain, un(e) journaliste :
galimatias égocentrique mièvre, loin de toute perfidie mais ne relève d'aucun exercice de style; une errance journalistique qui se veut perfectionniste par son énumération stérile et une action énamourée perfectible et délétère. NON !
Plaisant à lire... heureuse que le livre ne tourne pas qu'autour de la relation entre l'Américaine et l'Italien. Offre une jolie découverte de Venise.
Je n'ai mis que 3 étoiles parce que la fin m'a un peu déçue. Quand j'ai fermé le livre, j'ai pensé "c'est tout?"
L'amour doit être assez grand pour laisser de la place à la liberté.
Personne ne peut être là pour vous en permanence.Est-ce pour cela qu'on a inventé Dieu ? Pour qu'il y ait toujours quelqu'un en qui croire ? Dieu ne peut pas vous laisser tomber car son soutien est imperceptible. SI vous supposez qu'il est là, il l'est. Si vous en doutez, ça ne change rien. Dieu ne peut pas vous abandonner.
Au cours des mois passés, mon chez-moi avait cessé d'être un lieu géographique.
C'était devenu quelqu'un.
On dit souvent que l'ennui avec les voyages, c'est que, quelle que soit la destination, on reste en compagnie de soi-même.
Au début de notre liaison, j'ai pensé que la liberté était l'antithèse de la morale. C'était faux. La liberté est un moyen de navigation dans le système moral. Etre libre, c'est accepter le poids du jugement sur l'itinéraire que vous choisissez et la qualité du voyage que vous effectuez.
A Venise, la frontière entre terre et mer est perméable, l'une ne cesse de se perdre dans l'autre.
La nuit, une lumière étrange nimbe les demeures en surplomb des canaux - un jaune inquiétant, comme si un soleil brillait dans le noir, tranchant avec l'obscurité fuligineuse qui règne sous les balcons et les arcades. Et partout le clapotis des canaux, le murmure de l'eau sous les ponts ou dans quelque gouttière.