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Critique de stephanerenard
The authority est un des chefs d'oeuvres de Warren Ellis. Quand il est sorti, on n'avait pas encore de comics qui décrivaient des super héros aussi badass, et aussi déterminés à changer les choses quel que soit le prix à payer.
D'ailleurs l'histoire de "the authority" s'inscrit dans une continuité chez l'éditeur, les précédents récits racontant l'histoire d'une sorte de ONU mondiale à base de super héros appelée Stormwatch, et qui a gravement dépassé les bornes. Après la dissolution de Stormwatch, il ne reste plus rien pour faire la police super héroique et l'équipe d'Authority se reforme à partir des ruines de Stormwatch.
Tout est démesuré dans Authority, par exemple au début de l'épisode, une bande de super vilains vaporise la moitié de Moscou, apparemment sans raison. Il faut dire que dans Authority on a au moins deux héros genre superman (Jenny, Appolo et Shen Li) et d'autres encore plus badass dans leur specialité : l'ingénieur qui peut fabriquer n'importe quoi avec des nanites. Jack Hawksmoor auquel les villes obéissent (être à la campagne est sa cryptonite), au point que les buildings peuvent se courber, le shaman de la terre qui peut faire apparaitre ou transformer n'importe quoi, mais qui est souvent shooté, et le midnighter qui a déjà calculé le combat 1 000 000 de fois dans sa tête avant de t'affronter. Ah oui, ils sont dans un vaisseau géant qui navigue entre les mondes et peut leur ouvrir des portes n'importe où.
La question n'est donc pas de savoir s'ils peuvent le faire, mais avec quelle brutalité, ils vont le faire. C'est donc assez jouissif dans son côté brutal, mais ça atteint vite ses limites, parce qu'authority a dans son attitude même une sorte de côté tyrannique. le bien peut il tout justifier? C'est en marchant sur la corde raide qu'on rend un scénario intéressant, mais sans répondre à la question, du moins dans ce tome.
D'ailleurs l'histoire de "the authority" s'inscrit dans une continuité chez l'éditeur, les précédents récits racontant l'histoire d'une sorte de ONU mondiale à base de super héros appelée Stormwatch, et qui a gravement dépassé les bornes. Après la dissolution de Stormwatch, il ne reste plus rien pour faire la police super héroique et l'équipe d'Authority se reforme à partir des ruines de Stormwatch.
Tout est démesuré dans Authority, par exemple au début de l'épisode, une bande de super vilains vaporise la moitié de Moscou, apparemment sans raison. Il faut dire que dans Authority on a au moins deux héros genre superman (Jenny, Appolo et Shen Li) et d'autres encore plus badass dans leur specialité : l'ingénieur qui peut fabriquer n'importe quoi avec des nanites. Jack Hawksmoor auquel les villes obéissent (être à la campagne est sa cryptonite), au point que les buildings peuvent se courber, le shaman de la terre qui peut faire apparaitre ou transformer n'importe quoi, mais qui est souvent shooté, et le midnighter qui a déjà calculé le combat 1 000 000 de fois dans sa tête avant de t'affronter. Ah oui, ils sont dans un vaisseau géant qui navigue entre les mondes et peut leur ouvrir des portes n'importe où.
La question n'est donc pas de savoir s'ils peuvent le faire, mais avec quelle brutalité, ils vont le faire. C'est donc assez jouissif dans son côté brutal, mais ça atteint vite ses limites, parce qu'authority a dans son attitude même une sorte de côté tyrannique. le bien peut il tout justifier? C'est en marchant sur la corde raide qu'on rend un scénario intéressant, mais sans répondre à la question, du moins dans ce tome.
