Prix Goncourt 2015, ce long roman risque de déstabiliser ceux qui ne lisent qu'un livre par an. Si ce n'est pas votre cas, cela reste un livre déroutant, qui s'apparente un peu à un hymne à l'Orient et à l'orientalisme du XIXè siècle. L'histoire est un prétexte à une rêverie, des souvenirs et des références qui parfois m'ont totalement dépassées. Je reste mi-figue mi-raisin par rapport à ce livre, dont les intentions me plaisent (il est dédié aux Syriens), mais dont l'érudition me laisse à quai.
L'écriture de
Mathias Enard est sublime.
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