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Critique de Noctenbule


Alors pourquoi ne pourrait-on pas assister à une jolie histoire d'amour dans un hôpital entre un médecin suffisant et une infirmière à fleur de peau ? N'ont-ils pas tous les caractéristiques pour former un joli couple qui passe par « Je t'aime mais non plus » ? Maki Enjoji débute de façon drôle et douce ce shôjo qui trouvera sans aucun doute son public.

On s'attache à cette infirmière un peu maladroite qui est douce, délicate, volontaire et bienveillante. Elle ne voit le mal nulle part même si elle a surnommé son ex-amoureux le démon. le tandem colère/passion se mêle assez bien. D'ailleurs, la scénariste fait doucement monter la tension entre nos deux personnages pour finir sur une scène qui donne envie d'en savoir plus. La naïveté de l'amour se trouve à son apogée. Une fille choisit des études pour retrouver son prince ne charmant en ne sachant rien de lui. A part qu'il lui a tapoté la tête, geste affectueux dans les mangas, qui ressemble plus à un geste envers un chien, comme pour dire « gentil toutou ». On pourrait le traduire par « gentille fifille ». Pour certaine, c'est le must de la preuve d'affection et il est médecin donc il gagne de l'argent. Il a tout pour plaire. Mais elle a-t-elle autre chose que son apparence d'infirmière coquine ? Il semblerait que oui. Va-t-elle pouvoir réaliser son rêve de princesse ? le crapaud beau gosse va-t-il devenir son prince charmant ? La suite dans le prochain épisode. Par chance, la série ne se compose que de 7 tomes, la réponse arrivera assez vite.
Lien : https://wp.me/p1F6Dp-8yn
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