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Critique de Verdorie


Dans cette 1e intégrale (regroupant les épisodes 41 à 56, paru entre 1991 et 1993), on fait la connaissance d'un anti-héros devenu légendaire dans l'univers des comics : John Constantine, magus et « enflambeur » de l'enfer.
Personnage cynique, grande gueule et réfractaire à toute moralité (sauf l'amitié !), on le suit, après la première histoire (« Dépendance mortelle ») dans laquelle il est confronté à son cancer de poumons et se joue des Seigneurs des Ténèbres, dans des enquêtes plus courtes et empreintes d'occultisme.
Épisodes sombres et souvent horrifiques, visités par des démons, esprits et un vampire, dans une ambiance de « roman noir » anglais.
Le graphisme de trois dessinateurs différents et plutôt « brut de coffre » ne m'a pas trop attiré, mais dans cet album de plus de 400 pages, j'ai eu largement l'occasion de m'attacher à ce manipulateur bilieux, ayant du coeur, qu'est Constantine et je me ferai un plaisir de le rencontrer de nouveau dans la deuxième intégrale.
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