Le crépuscule s'installe comme un gros énervé qui s'étale sur son divan, et bientôt le choeur nocturne s'éveille. Le lapin place un euro dans le jukebox. Le blaireau pète sa gueule à la belette. Tout va bien. La chose sensée à faire serait d'ouvrir une autre bouteille, mais ça en ferait huit aujourd'hui. Hmmm...
Pile, j'ouvre, face, je n'ouvre pas... Ah tiens. Encore pile.
(Garth Ennis, en liberté, février 2009 (sorte de préface ? Arf !))
J'adore toujours celle-ci, malgré le temps qui a passé et toutes les autres couvertures qui lui ont succédé. Le sourire de Jesse, noir, rusé, celui du mec qu'on n'a pas envie d'emmerder, jaillissait de la page, c'était une couverture difficile à ignorer... Et elle illustrait la promesse de PREACHER : "J'ai des saloperies toutes neuves pour toi, mec..."
(Commentaire de Garth Ennis sur la couverture du tome 1 (et de cet integrale), dessiné par Glenn Fabry)
Quand on a le pouvoir, on doit en faire bon usage.
Forcer Tulip à commettre l’acte charnel contre son gré serait un péché impardonnable pour lequel je mériterais de brûler en enfer pour l’éternité... Donc, tant qu’elle n’aura pas retrouvé ses esprits, j’endurerai les affres du célibat... Et une trique à défoncer les portes.
New York raconte dix millions d’histoires... elles n’ont pas toutes une morale.