>
Critique de Yvan_T
Ce huitième tome de "Preacher" regroupe les épisodes #51 à #58 de la série US. Après un tome de transition qui délaissait l'intrigue principale pour permettre à Jesse Custer de se remettre les idées en place, Garth Ennis peaufine ses personnages avant le grand final.
A l'aide de flashbacks, Ennis nous en apprend plus sur le passé de Tulip et de Cassidy. Si le fait d'apprendre comment Tulip est devenue si efficace avec les armes à feu, de découvrir comment elle a rencontré Jesse et d'assister aux débuts de leurs activités criminelles n'est pas inintéressant, ce sont surtout les révélations concernant Cassidy qui constituent le véritable intérêt de cet avant-dernier volume. Au fil des tomes le lecteur s'était attaché à ce vampire irlandais, mais à la fin de ce huitième volet on ne sait plus trop quoi penser de Cassidy.
Cassidy n'est d'ailleurs pas le seul à découvrir le revers de la médaille, car Tête-de-Fion va également découvrir que la gloire n'est pas éternelle. Ennis utilise également quelques planches pour replacer lentement Herr Star aux avant-plans.
Le graphisme de Dillon est quant à lui toujours aussi adapté pour illustrer le scénario complètement déjanté et riche en dialogues d'Ennis.
Vivement le tome final et le dénouement de la quête de Jesse Custer !
A l'aide de flashbacks, Ennis nous en apprend plus sur le passé de Tulip et de Cassidy. Si le fait d'apprendre comment Tulip est devenue si efficace avec les armes à feu, de découvrir comment elle a rencontré Jesse et d'assister aux débuts de leurs activités criminelles n'est pas inintéressant, ce sont surtout les révélations concernant Cassidy qui constituent le véritable intérêt de cet avant-dernier volume. Au fil des tomes le lecteur s'était attaché à ce vampire irlandais, mais à la fin de ce huitième volet on ne sait plus trop quoi penser de Cassidy.
Cassidy n'est d'ailleurs pas le seul à découvrir le revers de la médaille, car Tête-de-Fion va également découvrir que la gloire n'est pas éternelle. Ennis utilise également quelques planches pour replacer lentement Herr Star aux avant-plans.
Le graphisme de Dillon est quant à lui toujours aussi adapté pour illustrer le scénario complètement déjanté et riche en dialogues d'Ennis.
Vivement le tome final et le dénouement de la quête de Jesse Custer !
