Si vous avez lu
Broadway, il n'est pas utile de lire
le discours. C'est un copié/collé. FabCaro a trouvé un filon et sans trop de vergogne, tire le fil. Ce sont toujours les mêmes états d'âme, les mêmes turpitudes, les mêmes angoisses. Bref, on tourne en rond, et surtout, on retrouve la même narration que dans le livre
Broadway. Ce fut drôle une fois. Pas drôle du tout la deuxième. Il faut plus d'imagination que cela M. Caro !
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