>
Critique de Crossroads
J'ai lu deux Favan, j'étais content.
Puis j'ai lu Apnée Noire, ça m'a fait tout bizarre.
Bizarre de constater un tel décalage qualitatif entre cette apnée de tout sauf du sommeil tant le scénar' couinait, comme une vieille porte vérolée par la rouille, et ses deux prédécesseurs hautement addictifs.
Ça partait pas mal.
Une bonne exécution, ça met toujours en joie.
Problème, le prétendu rétamé par injection n'est plus alors que des crimes en tous points identiques se perpétuent.
À problème complexe moyens exceptionnels.
Un duo de choc pour lever le voile sur ces crimes pas chics.
L'officier Sandino, complètement à la ramasse donc alcoolo (un rien cliché, mais bon) assorti de Megan (l'agent du FBI, pas la bagnole) Halliwell, femme de caractère aux méthodes un brin discutables.
J'ai pas aimé ce duo complètement improbable qui se renifle pendant que le sieur Sandino fait preuve d'auto-flagellation récurrente.
J'ai pas aimé le déroulé de la trame et cette façon complétement grotesque de travestir la vérité à son profit pour satisfaire un sombre besoin de vengeance. Oui, Megan, c'est bien de toi dont il s'agit, vilaine menteuse.
J'ai pas aimé le portrait de cet agent qui ne possède pas la lumière à tous les étages et encore moins son explicitation complètement irrationnelle.
J'ai bien aimé en finir en me demandant cependant pourquoi j'avais été jusqu'au bout.
Bref, Favan, vénéralement, f'est bien, mais parfois f'est défevant.
Puis j'ai lu Apnée Noire, ça m'a fait tout bizarre.
Bizarre de constater un tel décalage qualitatif entre cette apnée de tout sauf du sommeil tant le scénar' couinait, comme une vieille porte vérolée par la rouille, et ses deux prédécesseurs hautement addictifs.
Ça partait pas mal.
Une bonne exécution, ça met toujours en joie.
Problème, le prétendu rétamé par injection n'est plus alors que des crimes en tous points identiques se perpétuent.
À problème complexe moyens exceptionnels.
Un duo de choc pour lever le voile sur ces crimes pas chics.
L'officier Sandino, complètement à la ramasse donc alcoolo (un rien cliché, mais bon) assorti de Megan (l'agent du FBI, pas la bagnole) Halliwell, femme de caractère aux méthodes un brin discutables.
J'ai pas aimé ce duo complètement improbable qui se renifle pendant que le sieur Sandino fait preuve d'auto-flagellation récurrente.
J'ai pas aimé le déroulé de la trame et cette façon complétement grotesque de travestir la vérité à son profit pour satisfaire un sombre besoin de vengeance. Oui, Megan, c'est bien de toi dont il s'agit, vilaine menteuse.
J'ai pas aimé le portrait de cet agent qui ne possède pas la lumière à tous les étages et encore moins son explicitation complètement irrationnelle.
J'ai bien aimé en finir en me demandant cependant pourquoi j'avais été jusqu'au bout.
Bref, Favan, vénéralement, f'est bien, mais parfois f'est défevant.
