Après avoir apprécié
Neige et
Zen de
Maxence Fermine j'ai choisi de poursuivre avec
le violon noir.
Comme lors de mes deux précédentes lectures, ce que j'aime chez
Maxence Fermine c'est la simplicité des mots. le texte est épuré et d'une justesse incroyable. Lire
Fermine c'est comme faire une petite séance de relaxation. Là où
Neige et
Zen donnaient un sentiment d'apaisement, ici c'est plutôt la mélancolie qui a été l'émotion prépondérante. C'est aussi une histoire d'amour. Erasmus et Johannes sont tous deux épris de cette musique et c'est décrit de manière tellement poétique qu'on a l'impression d'entendre le violon en lisant.
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http://biblinua.blogspot.com.. Commenter  J’apprécie         50