Le retour à la terre a ce parfum suranné. de cette époque où je découvrais
Larcenet et lisais le combat ordinaire en parallèle de la série champêtre. Une même histoire contée différemment.
J'attendais ce tome par pure collectolectorite aiguë. Et pourtant dès la première planche je me suis esclaffee. On retrouve ce cynisme optimiste, cette dépression rose bonbon et bien sûr madame Mortemont.
J'ai bien ri.
Vous m'aviez manqué Larssinet. Je suis contente qu'on ait trouvé un sixième tome dans vos cartons.
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