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Critique de taganga2000
Encensée par @Art Siegelman, excusez du peu, @Emil Ferris nous livre un premier livre maîtrisé autant sur la forme que sur le fond.
De prime abord, on pourrait être réticent à se lancer dans la lecture d'une bd de 400 pages dessinée au stylo-bille ?!!! mais dès les premières pages Karen nous embarque dans son voyage au pays des monstres qui ne sont pas toujours ceux que l'on croient. Il faut dire que l'écriture est à la hauteur des dessins et qu'@Emil Ferris a placé la barre très haut. Avec cette oeuvre, la définition de 9ème art, attribué à la bande dessinée, prend ici toute sa justification.
Journal intime de Karen (Emil ?) le roman développe les thèmes de l'enfance et de la découverte de la sexualité ; la maladie ; les secrets de famille ; la violence urbaine qui sévit dans ce Chicago des années 60, mais aussi celles subies par sa voisine Anka tout au long de sa vie que Karen découvre grâce à des enregistrements magnétiques ; et bien sûr la découverte de l'Art Institute de Chicago dans lequel son frère Deeze l'emmène souvent. L'occasion pour @Emil Ferris de nous livrer de splendides reproductions de tableaux.
Quand on connaît l'histoire personnelle de l'auteure, on ne peut être qu'encore plus admiratif qu'elle ait été capable de réaliser une oeuvre aussi magistrale.
Un grand coup de coeur ! J'attends le tome 2 avec impatience.
Challenge multi-défis
De prime abord, on pourrait être réticent à se lancer dans la lecture d'une bd de 400 pages dessinée au stylo-bille ?!!! mais dès les premières pages Karen nous embarque dans son voyage au pays des monstres qui ne sont pas toujours ceux que l'on croient. Il faut dire que l'écriture est à la hauteur des dessins et qu'@Emil Ferris a placé la barre très haut. Avec cette oeuvre, la définition de 9ème art, attribué à la bande dessinée, prend ici toute sa justification.
Journal intime de Karen (Emil ?) le roman développe les thèmes de l'enfance et de la découverte de la sexualité ; la maladie ; les secrets de famille ; la violence urbaine qui sévit dans ce Chicago des années 60, mais aussi celles subies par sa voisine Anka tout au long de sa vie que Karen découvre grâce à des enregistrements magnétiques ; et bien sûr la découverte de l'Art Institute de Chicago dans lequel son frère Deeze l'emmène souvent. L'occasion pour @Emil Ferris de nous livrer de splendides reproductions de tableaux.
Quand on connaît l'histoire personnelle de l'auteure, on ne peut être qu'encore plus admiratif qu'elle ait été capable de réaliser une oeuvre aussi magistrale.
Un grand coup de coeur ! J'attends le tome 2 avec impatience.
Challenge multi-défis
