Maupassant évoque cette puissance de la mémoire olfactive :
"que de fois une robe de femme lui avait jeté au passage,
avec le souffle évaporé d'une essence,
tout un rappel d'événements effacés."
P 182
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.