>
Critique de maylibel
Des écrivains français célèbres, tous publiés aux éditions Chiflon, disparaissent les uns après les autres. le commissaire Adam Seberg est chargé de l'enquête.
Oubliez le résumé : l'histoire racontée dans ce roman n'a qu'un intérêt très secondaire. Et si c'était niais ? est en effet avant tout un exercice de style, constitué d'un ensemble de pastiches très drôles. Tout l'art de l'auteur est de saisir la « patte » des écrivains à succès qui l'ont inspiré et de se l'approprier pour en grossir les obsessions, les répétitions, les tics d'écriture… composant un texte par moments franchement hilarant. Seul ennui : deux cents pages, c'est déjà trop long pour ce type d'ouvrage, qu'il vaut mieux picorer lorsqu'on a envie de sourire que lire d'une traite, sous peine de se lasser.
Un livre à conseiller à tous ceux qui aiment les pastiches, même si l'on a jamais lu les auteurs qui ont inspiré Pascal Fioretto (personnellement, j'ai beaucoup ri avec le premier chapitre, alors que je n'ai jamais ouvert un ouvrage de Bernard-Henri Lévy).
Oubliez le résumé : l'histoire racontée dans ce roman n'a qu'un intérêt très secondaire. Et si c'était niais ? est en effet avant tout un exercice de style, constitué d'un ensemble de pastiches très drôles. Tout l'art de l'auteur est de saisir la « patte » des écrivains à succès qui l'ont inspiré et de se l'approprier pour en grossir les obsessions, les répétitions, les tics d'écriture… composant un texte par moments franchement hilarant. Seul ennui : deux cents pages, c'est déjà trop long pour ce type d'ouvrage, qu'il vaut mieux picorer lorsqu'on a envie de sourire que lire d'une traite, sous peine de se lasser.
Un livre à conseiller à tous ceux qui aiment les pastiches, même si l'on a jamais lu les auteurs qui ont inspiré Pascal Fioretto (personnellement, j'ai beaucoup ri avec le premier chapitre, alors que je n'ai jamais ouvert un ouvrage de Bernard-Henri Lévy).
