Je suis en train de relire ce pastiche avec une réelle admiration non pas de l'intrigue mais du style de chaque chapitre, qui croque de manière si clairvoyante les travers des héros récurrents de nos rentrées littéraires. Pour qui viendra de lire, même en diagonale, un tome du journal de
Pascal Sevran, il sera facile de se délecter du chapitre de
Fioretto intitulé "ils ont touché à mes glaïeuls", qu'on jurerait écrit par Sevran lui-même !
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