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Critique de Foufoubella
Du même auteur, j'avais lu il y a quelque mois le colis qui ne m'avait guère enthousiasmée. Même si j'avais tourné les pages sans difficultés, la raison d'être d'un page turner comme on dit, j'avais trouvé le tout fait de trop grosses ficelles pour me plaire ou me convaincre. Comme j'avais déjà celui-ci dans ma PAL, je me suis dit que j'allais laisser une seconde chance à l'auteur (et vous aurez bien vu que je dis seconde). Il est finalement sorti plus tôt que prévu de ma pile, une main innocente l'y ayant pioché.
Un célèbre psychiatre berlinois, de ceux qu'on voit régulièrement dans les médias, a perdu sa fille depuis quatre ans. Elle s'est volatilisée. Enlevée? Tuée? Séquestrée? On ne sait pas trop. Trop compliqué pour lui de reprendre son activité professionnelle, il décide de se retirer dans sa maison de famille, sur une île. Soudain, une inconnue, romancière de son état, sonne à sa porte et l'implore de l'aider. Elle souffrirait d'une forme rare de schizophrénie et pense que lui seul, spécialiste de la maladie, peut la guérir. A son corps défendant, il commence à l'écouter et se retrouve de plus en plus intrigué par l'histoire qu'elle lui raconte...
Autant le dire tout de suite, je n'ai pas passé un mauvais moment avec ce roman. Sebastian Fitzek maîtrise l'art du thriller et du suspense: le rythme est soutenu, les fins de chapitres haletants, on a envie de poursuivre la lecture pour connaître le point final. Et on a envie d'être surpris. Et c'est justement là, pour moi, que ça pêche. J'avais deviné la fin de l'histoire dès la fin du prologue, comme un air de déjà vu (il m'a sacrément fait penser à un autre roman, bien plus connu, mais promis, je ne dirai rien). Je n'avais pas tout deviné mais le plus important, oui, ce qui fait que je me suis dit, "ouais, pas mal comme lecture dans le train". Car oui, il se lit très vite.
En résumé, un thriller psychologique assez classique, qui ne m'a pas surprise, mais qui pourrait plaire à beaucoup. La lecture ne fut pas désagréable mais ce roman n'est pas non plus indispensable dans une vie de lecteur. En lirai-je un autre de l'auteur? Pas tout de suite et je ne les chercherai pas non plus, que ce soit en librairie ou en médiathèque.
Lu en juin 2021
Un célèbre psychiatre berlinois, de ceux qu'on voit régulièrement dans les médias, a perdu sa fille depuis quatre ans. Elle s'est volatilisée. Enlevée? Tuée? Séquestrée? On ne sait pas trop. Trop compliqué pour lui de reprendre son activité professionnelle, il décide de se retirer dans sa maison de famille, sur une île. Soudain, une inconnue, romancière de son état, sonne à sa porte et l'implore de l'aider. Elle souffrirait d'une forme rare de schizophrénie et pense que lui seul, spécialiste de la maladie, peut la guérir. A son corps défendant, il commence à l'écouter et se retrouve de plus en plus intrigué par l'histoire qu'elle lui raconte...
Autant le dire tout de suite, je n'ai pas passé un mauvais moment avec ce roman. Sebastian Fitzek maîtrise l'art du thriller et du suspense: le rythme est soutenu, les fins de chapitres haletants, on a envie de poursuivre la lecture pour connaître le point final. Et on a envie d'être surpris. Et c'est justement là, pour moi, que ça pêche. J'avais deviné la fin de l'histoire dès la fin du prologue, comme un air de déjà vu (il m'a sacrément fait penser à un autre roman, bien plus connu, mais promis, je ne dirai rien). Je n'avais pas tout deviné mais le plus important, oui, ce qui fait que je me suis dit, "ouais, pas mal comme lecture dans le train". Car oui, il se lit très vite.
En résumé, un thriller psychologique assez classique, qui ne m'a pas surprise, mais qui pourrait plaire à beaucoup. La lecture ne fut pas désagréable mais ce roman n'est pas non plus indispensable dans une vie de lecteur. En lirai-je un autre de l'auteur? Pas tout de suite et je ne les chercherai pas non plus, que ce soit en librairie ou en médiathèque.
Lu en juin 2021
