Au début après les deux premières nouvelles (Comment vivre avec 36000 dollars par an et Comment vivre avec trois fois rien par an), je dois avouer que je restais mitigé à l'encontre de cet ouvrage, mais le reste des nouvelles se laisse bien lire. J'apprécie particulièrement l'humour, toujours sous-jacent, et l'autre face si je puis dire, du métier de l'écriture, avec quelques passages excellents, notamment dans La fêlure, Recoller les morceaux, La maison de l'écrivain, Réussir jeune, et j'en oublie d'autres. Les thèmes sont toujours les mêmes, la génération perdue etc. Fitzgerald ne s'est jamais remis de sa jeunesse. Santé !
À noter que la préface de
Roger Grenier est remarquable.
En somme, ce livre est à lire pour les inconditionnels de Fitzgerald, tout en sachant que l'on peut s'en passer...
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