De cette agitation intérieure d’un organisme de petit garçon qui grandit à vue d’œil sous les coups de butoir de son palpitant, rien ne transparaissait, rien n’était perceptible, et je restais immobile, contenant tout ce tumulte en moi, figé comme un gisant, les lèvres jointes comme face à la mort, au contact des lèvres si vivantes et douces de Barbara.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.