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Critique de verobleue


Quand j'ai reçu la proposition d'une masse critique privilégiée sur « Qu'est-ce qu'elle a ma gueule ? » d'Avery Flynn, je me suis dit : « Mais oui, pourquoi pas ! » le livre se présentant comme une romance body positive, cela m'a semblé une bonne idée.
Je l'ai commencé dès sa réception attirée par sa couverture jaune, lumineuse. Son texte, facile à lire, a commencé à se dérouler sans anicroche.
Puis la lourdeur des effets à tout doucement figé mon enthousiasme. La Kisscam est passé comme une lettre à la poste. L'histoire de la clé avec laquelle l'héroïne principale entre dans le noir dans la chambre d'un inconnu au petit matin a eu du mal à passer…. le squelette de Tommy Gros Nez, retrouvé vingt ans plus tard dans les murs du grenier de la maison que l'héroïne rénove, je me suis étranglée. Même si l'auteur s'en rend compte «Est-ce que le même médecin sera capable d'expliquer comment notre grand-père a pu pourrir ici pendant vingt ans sans que personne s'en rende compte ? Tu es en train de dire que les locataires qui se sont succédé ces dix dernières années n'ont rien remarqué ? »
Et les clichés ! Gina Luca vient d'une famille italienne mafieuse et Ford Hartigan d'une famille de pompiers irlandais solides et musclés.
Pour terminer, le livre a été lu en travers, sans la moindre allégresse, sans attente particulière même s'il est facile à lire. Parce que tout est dit, convenu, sans aucune surprise. La suite s'appelle : « C'est pas la taille qui compte ! » je n'ose imaginer de quoi on y parle (Nan, je rigole !)
Pourtant, j'aime bien lire de temps en temps un livre de romance mais celui-ci n'est pas pour moi. Merci à Masse Critique et aux Editions Harlequin pour l'envoi de ce livre même si je n'ai pas réussi à m'intéresser à ses protagonistes
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