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Critique de olivberne
Roman de la parcimonie, Charlotte de Foenikos réussit à créer une émotion forte à la lecture.
On a l'impression que l'auteur a cherché le meilleur moyen de toucher le lecteur, pas uniquement en racontant une histoire dans l'histoire mais aussi, comme le faisait Charlotte Salomon, en peignant une vie avec des mots. C'est un travail de peintre que Foenikos a fait, en préférant la forme versifiée plutôt que la prose, en utilisant une narrateur externe et un certain détachement par rapport aux événements, en faisant évoluer ses personnages presque comme des robots, avec des sentiments qui n'arrivent pas à percer une armure.
C'est pourtant un long roman mais qui se lit très vite, un roman qu'on traverse, qui vous agrippe. On a l'impression d'écouter une musique (il existe sûrement une version audio qui doit être un bonheur à écouter), de glisser sur cette vie mais on sait dès le début comment cela va finir.
Un très beau et bon roman qui va j'espère inspirer d'autres écrivains dans les années à venir et qui deviendra peut-être un classique.
On a l'impression que l'auteur a cherché le meilleur moyen de toucher le lecteur, pas uniquement en racontant une histoire dans l'histoire mais aussi, comme le faisait Charlotte Salomon, en peignant une vie avec des mots. C'est un travail de peintre que Foenikos a fait, en préférant la forme versifiée plutôt que la prose, en utilisant une narrateur externe et un certain détachement par rapport aux événements, en faisant évoluer ses personnages presque comme des robots, avec des sentiments qui n'arrivent pas à percer une armure.
C'est pourtant un long roman mais qui se lit très vite, un roman qu'on traverse, qui vous agrippe. On a l'impression d'écouter une musique (il existe sûrement une version audio qui doit être un bonheur à écouter), de glisser sur cette vie mais on sait dès le début comment cela va finir.
Un très beau et bon roman qui va j'espère inspirer d'autres écrivains dans les années à venir et qui deviendra peut-être un classique.
