Comme d'habitude chez
Ken Follett, ce roman se base sur un gros travail de documentation, ici sur l'Angleterre victorienne...
Mais comme souvent, les personnages sont trop monolithiques...
Les gentils sont ... gentils, à être "braves" au sens méridional (je détaille ?).
Les méchants, rien ne les rachète et on s'étonne qu'il n'y ait pas un "sévère mais juste" pour leur claquer le museau..
Oui, certes il arrive une grosse contrariété à cette ordure de Micky Miranda, mais infligée par Augusta Pilaster, aussi vicieuse que lui...
Mais bon: quand on s'est régalé avec "
Les piliers de la Terre", on devient exigeant...
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