On l'avait décrit comme une brute, sans états d'âme et sans cœur ; c'était le plus sensible, le plus charmeur des séducteurs. Décidément, le romancier Dillan Ferguson ne ressemblait pas aux portraits qu'on faisait de lui à Hollywood. La mission d'Emily allait être plus difficile encore : non seulement elle allait devoir parler contrats et royalties avec lui, mais s'empêcher de rêver qu'il savait aussi parler d'amour...