J'ai plongé mon regard dans les yeux du chiot. Ils étaient de la même couleur que le sirop d'érable. Et si beaux qu'ils me manquaient dès qu'il battait des paupières.
Elle l'a prévenue qu'il était temps de me laisser partir.
Sauf que maman n'avait jamais essayé de me retenir.
Les nuages devaient avoir pleurer jusqu'a retrouver le sourire parce qu'ils étaient de nouveau blancs. Des rayons de soleil s'étiraient à travers la chambre pour me toucher, comme s'ils voulaient jouer à chat.