Fotorino est un auteur a la plume facile ,trop? Gageons que son éditeur en profite .La 1 ère partie ,balzacienne,se lit aussi couramment que si cela venait de son noble devancier .La seconde est plus moyenne ,proustien n'est pas qui veut .Les jeux des mémoires, imprimées dans le souvenir immédiat , reconstruites dans ce qu'aurait été une enfance dans le nouvel environnement vécu depuis que sa mère a épousé son nouveau père ,perdues à jamais ....revisitées avec d'autres inconnus qui lui reparlent du moment d'avant etc ;est forcément plus ou moins facile .Ce qui rend les chapitres de la seconde partie inégaux,selon la propre mémoire du lecteur .Je n'ai encore lu la troisième partie .surprise,surprise!!!
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