Ah le phrasé d'
Anatole France ! Fluide ; il coule de source. Beaucoup d'humour. Tellement attachant ce "petit mari" qui nous promène dans son enfance. le "réveil " est cependant brutal. Sans que rien ne le laisse présager, le lecteur se retrouve tout à coup dans un dialogue qui n'a pas sa place, et qui plus est, est pour le moins abscons. Dialogue que j'ai quand-même compris, (enfin, un peu), mais je ne vois pas l'utilité de couper de la sorte un cheveux en quatre, sauf pour peut-être "intellectualiser" l'oeuvre. Dommage ! La première partie était si fraîche.
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