Au coeur de ce roman , il y a d'abord le Pô qui irrigue ces pages, personnage principal – on ne peux s'empêcher de penser à la « peau » en français -, ce fleuve redouté et qui fascine à la fois, menaçant de déborder et d'emporter les habitants.
Il y a surtout les odeurs (celle des genêts que laisse une très belle jeune fille derrrière elle quand elle quitte la plage, celle du tabac froid du père et mille autres encore) et les sensations omniprésentes, le tout baigné dans une ambiance qui fait penser au réalisme magique sud-américain, la démesure et le baroque en moins (j'ai parfois pensé à « Pedro Paramo » de
Juan Rulfo que l'on considère comme l'inventeur du réalisme magique).
La suite sur le blog : http://lepandemoniumlitteraire.blogspot.com/2010/12/dans-les-veines-ce-fleuve-argent-de.html
Lien :
http://lepandemoniumlitterai.. Commenter  J’apprécie         70