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Critique de Malavella
Cet album contient les débuts de Gaston Lagaffe dans les bureaux de Spirou. André Franquin avait reçu carte blanche de son éditeur. Au début, Gaston était une figurine qui apparaissait, c'était tout. Tout doucement, Gaston a reçu plus de place. Dans cet album, les blagues de Gaston ne font encore qu'un quart de page. Parfois, il y a des textes qui ont été publiés dans le journal, par exemple quand Gaston a été démissionné, et que la rédaction a demandé aux lecteurs d'écrire pour le faire réengager.
C'est très amusant de (re)lire comment Gaston a fait ses débuts dans le journal de Spirou. Ici, le chef de rédaction est encore Fantasio, parfois Spirou et Spip apparaissent. Mademoiselle Jeanne ne fait sa première apparition que vers la fin du livre, mais Demesmaeker est déjà là, avec les contrats. Et, bien sûr, monsieur Dupuis.
Et dans ce livre, il y a également le réjouissant Gaston-latex.
Bien que plus sobres que les livres suivants, où le style devient de plus en plus nerveux et chaotique à chaque album, le désespoir de Fantasio et les gaffes et les inventions de Gaston ne manquent pas de dynamisme, les idées sont géniales et la façon de dessiner très expressive font éclater de rire.
Bonne (re)lecture à tous !
C'est très amusant de (re)lire comment Gaston a fait ses débuts dans le journal de Spirou. Ici, le chef de rédaction est encore Fantasio, parfois Spirou et Spip apparaissent. Mademoiselle Jeanne ne fait sa première apparition que vers la fin du livre, mais Demesmaeker est déjà là, avec les contrats. Et, bien sûr, monsieur Dupuis.
Et dans ce livre, il y a également le réjouissant Gaston-latex.
Bien que plus sobres que les livres suivants, où le style devient de plus en plus nerveux et chaotique à chaque album, le désespoir de Fantasio et les gaffes et les inventions de Gaston ne manquent pas de dynamisme, les idées sont géniales et la façon de dessiner très expressive font éclater de rire.
Bonne (re)lecture à tous !
