N'ayez pas peur, boys! La peur est une pieuvre qui étouffe!
« - J’ai bientôt 41 ans, Worsley. Et c’est ma dernière chance d’accomplir ce que personne n’a encore fait : traverser l’Antarctique de part en part… via le pôle !
-Vous réussirez boss.
-Je n’en ai jamais douté Skipper ! ».
« Gentlemen, nous devons quitter l’Endurance. Concernant vos effets personnels, vous ne prendrez que le strict nécessaire. Mais avant… descendez les canots et apprêtez les traîneuax ! Faites-le avec le plus grand soin. C’est notre seule chance de vivre !
« 21 novembre 1915, j’assiste au plus funeste des spectacles… La mort de mon bateau engloutit toutes mes ambitions… Mais qu’importe ! Puisque je garde un seul espoir, dussé-je en perdre la vie… ramener tous mes homme au pays et VIVANTS. Y réussirais-je ? »
« - Mon gant !!!
-Prenez le mien Hurley !
Je ne peux pas accepter !
Bien, dans ce cas, nous serons deux à n’avoir qu’un seul gant… à moins que vous ne changiez d’avis ! »
« - Et on est où d’abord ?
-Sur l’île de l’éléphant. La terre la plus proche pour sauver Blackborrow.
-Et pour sauver un gamin, il condamne 27 hommes à crever dans le trou du cul du monde ! »
La peur est une pieuvre qui étouffe !
Improviser, s'adapter... dominer !
Qui m'a arrimé ça comme un jean-foutre ?
Décidément, Steward, nous avons bien fait de ne pas vous manger.
-On va tous y rester...
-Ta gueule Vincent! Si le boss avait voulu ta mort, il t'aurait déjà pendu vingt fois pour mutinerie!