Dieu existe, je l'ai rencontré

Qui a dit que l’amour était aveugle? Il est seul à bien voir : il découvre des beautés où d’autres que lui ne voient rien.

L’avantage d’être fils de quelqu’un est que l’on trouve sans peine un emploi. L’inconvénient est que l’on peut le perdre aussi aisément qu’on l’a trouvé.

Qui a dit que l’amour était aveugle ? Il est seul à bien voir : il découvre des beautés où d’autres que lui ne voient rien.

L’ouvrier gagnait de cinq à dix sous par jour, et faisait des jaloux parmi les paysans que leur quelques arpents de terre avaricieuse nourrissaient à peine. Aucune loi sociale ne protégeait l’un, que dix ou onze heures de travail quotidien ne parvenaient pas à tirer de l’indigence ; l’autre dépendait de l’humeur des saisons, et n’avait de secours à attendre de personne. C’était la Belle Epoque.

Je ne me dissimule pas ce qu'une conversion de ce genre, par son caractère impromptu, peut avoir de choquant et même d'inadmissible pour les esprits contemporains qui préfèrent le cheminement rationnel aux coups de foudre mystiques, et qui apprécient de moins en moins les interventions du divin dans la vie quotidienne.

Or il se trouve que je sais, par extraordinaire, la vérité sur la plus disputée des causes et le plus ancien des procès : Dieu existe.
Je L'ai rencontré.

Je veux parler de la belote, jeu démocratique où le valet l’emporte sur le ménage royal relégué au dernier rang des cartes honorables.

Amour, pour te dire, l'éternité sera courte. (excipit, p.158).

Elle était la douceur et la peine acceptée, la tendresse démunie, la résignation plénière et tout ce que peut dire la musique, quand personne n'a plus rien à dire. (p.54).

On ne s’instruisait pas pour être libre, mais pour dominer.