C'est ce que je raconte à François pour essayer de le réveiller, mais mon poignant récit existentiel n'y suffit pas : bouche ouverte, tête nue, malheureuse victime de la générosité wallonne, enfoncé dans son matelas, pâle dans son lit vert où la lumière pleut, il dort dans le soleil, la main sur la poitrine, tranquille. Il a deux taches de rouge au côté droit.