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Critique de BRUMANT


Macondo aracataca ! Buendia ne croyait pas. Épouvantable. C'est la 2eme fois que je lis ce livre. J'ai du le lire en 1971. Pour moi c'est un siecle . Je me souviens d'une colombienne qui avait dit à Yves Voisine un copain l'acadien, le cousin de Roch, qu'elle s'était enfermée pour le lire tant ce livre parlait de chez elle. La mort le suivait partout. Si tu dois devenir fou deviens le tout seul. La mort le suivait partout. Il survécu à la pelagre en Perse. Personnage lugubre tout enveloppé de tristesse. Bien dis est un personnage désastreux . Un centavo traduit par Claude et Carmen Durand. Avec une barbe à tailler au couteau de cuisine. Au sud s'étendait un bourbier. Puis le grand marigot qui n'avait pas de limite. Macondo, une ville nouvelle a peine éclairé par la faible réverbération d'insectes phosphorescents. Je préfère la voie du nord.carajo ! Jamais 'nous ne pourrons nous rendre quelque part. Nous ne nous irons pas ! En sautant d'une île sur l'autre. le versant occidental de la Sierra. Fondation de Macondo. Une indienne guajira chaussée de babouches. Melquiades se mit a enregistrer sur des plaques de daguerréotype tout ce qu'on pouvait enregistrer. Bon dieu ! Ce théâtre géant. Comme chez Homere ou Cervantes. Les 32 guerres du colonel Aurelanio Buendia. Trempez dans l'eau une poule couveuse. Car aux lignées condamnées à cent ans de solitude, il n'était pas donné de seconde chance.
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