Pendant longtemps
Jean de la Ville de Mirmont fut un écrivain culte, connu d'un petit nombre d'initiés, souvent de la région Bordelaise d'où il venait. En évoquant la mort et l'oeuvre de ce poète délicat et de cet écrivain aigu,
Jérôme Garcin aura rendu rendu un service signalé à la littérature si ses lecteurs se précipitent sur "Les dimanches de Jean Désert" et les poèmes de "
L'horizon chimérique" qu'il cite souvent. Au passage, il auront lu une biographie très habilement romancée de l'écrivain si tôt disparu, auquel
Jérôme Garcin invente un frère d'arme qui maintient son souvenir dans le culte de son oeuvre. le roman est d'un belle facture, forte et sensible, sur l'amitié, la mémoire, les guerres. Avec une chute surprenante !
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